L’abécédaire du CV : D comme Densité

Densité, nom féminin, qualité de ce qui est dense, épais, compact, consistant. Synonymes : concentration, épaisseur.

Densité, nom féminin, qualité de ce qui est dense, épais, compact, consistant. Synonymes : concentration, épaisseur

La densité d’un CV est un indicateur essentiel duquel la consistance et l’image de sérieux produite par le CV découle directement.

La densité d’un CV est définie par CVfirst comme le nombre de mots par page, indépendamment du graphisme du CV ou du nombre de pages. En effet, les enjolivures et autres éléments graphiques sont de la fausse-densité, puisque ces éléments n’apportent pas d’information utile.

Plus le nombre de mots par page est élevé plus petite la taille des caractères doit être, essentiellement pour des raisons graphiques, ce qui revient à considérer que la densité devient inversement proportionnelle à la taille des caractères utilisés pour rédiger le CV.

La densité s’analyse toutefois de manière relative, par rapport au poste et au secteur. En particulier, la densité moyenne du CV augmente naturellement avec l’expérience et sera généralement plus élevée dans les secteurs et fonctions valorisant l’écrit.

Enfin, la densité et le nombre de pages du CV sont deux choses différentes : augmenter le nombre de pages ne doit jamais impacter la densité du document. A poste visé équivalent, un CV d’une page ou un CV de deux pages devront avoir la même densité car le nombre de pages ne doit pas influencer la première impression pour une raison très simple : la deuxième page est rarement lue, elle est généralement uniquement parcourue et les informations reléguées en deuxième page sont considérées soit étant des informations de recherche, par exemple des mots-clés, soit des informations secondaires voire dissimulées volontairement ou non par le candidat.

A retenir :

  • Le sérieux apparent d’un CV découle directement de la densité de ses pages.
  • La densité est néanmoins différente du gris typographie, qui est l’impression produite sur l’oeil par la vision générale de la page, car le gris typographique est impacté par les éléments graphiques.
  • Un CV d’une page ne doit jamais être étalé sur deux pages car il donnerait l’image d’une « histoire qui s’étire » et qui manquerait d’ossature.
  • Plus la densité d’un CV est élevée, moins la taille des caractères du CV est grande. Il n’est pas rare d’observer des CV écrits avec une taille de caractères inférieure à 9 points.
  • La lisibilité liée à la taille des caractères est devenue un « vrai-faux » problème puisque les recruteurs (externes ou internes) vont recevoir et lire les CV à partir de leur version électronique, à la taille qu’ils souhaitent.
  • La densité n’est pas liée au nombre de pages du CV mais uniquement au poste et au secteur visé : un CV de deux pages devrait avoir la même densité par page qu’un CV d’une page, et par conséquent pour un même candidat le nombre de mots d’un CV de deux pages devrait être le double d’un CV d’une page.
  • Le CV d’un débutant ne devrait jamais avoir une densité inférieure à 550 mots/page, tandis que celui d’un cadre expérimenté approchera voire dépassera 750 mots.
  • Un candidat valorisera son sérieux en présentant un CV d’une densité supérieure à celle de ses concurrents.
  • Un candidat valorisera son adaptabilité en présentant un CV d’une densité inférieure à celle de ses concurrents.

CV & profil LinkedIn en anglais : comment traduire les titres et diplômes sans risquer le faux pas ?

Ingénieur, MBA, manager… les pièges de la traduction de CV et de profils LinkedIn sont nombreux.

Ingénieur, MBA, manager… les pièges de la traduction de CV et de profils LinkedIn sont nombreux.
Qui est manager ? Qui est directeur ? Qui est ingénieur ? Qui a un MBA ?

Car il est souvent tentant et flatteur, quand on traduit son CV, d’enjoliver légèrement la réalité. Et, au bénéfice de la traduction, les titres et les diplômes donnent le tournis !

Le pire exemple est certainement le General Manager qui devient Directeur Général, quand il est traduit de de l’anglais vers le français, car le candidat se prend alors les pieds dans le tapis en retraduisant vers l’anglais…

Dans l’autre sens, du français vers l’anglais, la formation dans une toute petite ESC se transforme généralement en MBA, ou le technicien devient ingénieur voire s’auto-propulse directement au niveau « Engineer IV » aux Etats Unis… pour ne prendre que ces exemples courants.

Pour les diplômes, il est encore possible d’enjoliver la réalité (même si le bon temps de l’intraduisible DEUG est presque révolu)

Voyons en détail comment procéder…

Bien sûr, depuis la réforme Licence-Master-Doctorat (2003-2006) et l’harmonisation européenne des grades universitaires, les diplômes de DESS, DEST et DEA ont été remplacés par le diplôme de Master. Seuls les titulaires d’un DESS peuvent se prévaloir de plein droit du grade de Master 2, et le bon temps de l’intraduisible DEUG est presque révolu.

Inversement, l’historique A-level anglo-saxon est tellement dévalorisé que les candidats francophones n’ont plus aucun intérêt à s’en prévaloir : il est devenu préférable de rester sur le Baccalaureate, que certains lecteurs un peu pressés interpréteront comme étant le English Baccalaureate ou EBacc…

Et il y a encore mieux : le MBA. Le Master of Business Administration, ce sésame absolu.

Ah bon ?

Rappelons déjà une évidence : le nom MBA n’est pas déposé et ainsi n’importe qui peut délivrer un diplôme intitulé MBA.

https://fr.wikipedia.org/wiki/MBA_en_France

Oui, n’importe quelle école, association, ou même formateur individuel peut parfaitement délivrer un MBA. Alors, certes, il ne sera pas accrédité AACSB, AMBA ou EQUIS, mais le titulaire se consolera facilement en se rappelant que les MBA de l’IAE Grenoble, de l’INSEEC, de l’ISEC, ou de l’ESC Rennes ne le sont pas non plus !

Et puis, un peu de mauvaise foi aidant, vous pourrez toujours soutenir qu’avoir indiqué MBA sur votre CV veut dire évidemment que vous êtes Married But Available, comme chacun le sait… et, qu’un peu plus loin, le MBA Stanford qui figure pourtant en gras voulait bien sûr dire que vous avez acheté votre MacBook Air à l’Apple Store de Stanford.

On rappellera donc qu’un diplôme ne se traduit jamais, car, en le traduisant, il perd tout son sens. Il est toujours préférable de conserver le nom exact de son diplôme et de son école.

Plus simplement, pour enjoliver son CV en anglais, le mieux est de conserver le nom du diplôme et le nom de l’école en Français. Ce que personne ne pourra vous reprocher…

Heureusement, il reste les titres des postes…

… qu’il est bien tentant d’enjoliver. Est-ce si sûr ?

Mais notre General Manager devenu Directeur Général sera bien ennuyé lorsqu’il devra retraduire son CV vers l’anglais… que faire ? Avouer qu’il n’était que General Manager ? Tenter le tout pour le tout et prétendre naïvement qu’il occupait des fonctions de Managing Director ? Eliminatoire dans les deux cas, mon cher Watson !

Directeur Général ou Director General sont parfaitement compréhensibles. D’ailleurs, en cas de doute, le recruteur pourra toujours consulter la page Wikipedia qui lui indiquera que « In France, the similar word président-directeur général (PDG) means the highest person in a company, who is at the same time chairman (président) of the board of directors and CEO (directeur général). »

https://en.wikipedia.org/wiki/Director_general

Donc, non, pour les titres non plus, cela ne fonctionne pas, et le candidat aura là aussi intérêt à rester aussi francophone que possible.

Là aussi, la bonne solution est de conserver le titre français, éventuellement expliqué, mais en évitant à tout prix de produire une équivalence toujours aléatoire.

Enfin, dans tous les cas, le candidat aura toujours intérêt à se souvenir qu’une traduction enjolivée propulsera souvent son CV dans la « pile des CV bidon » quand il tombera dans les mains d’un recruteur bilingue…

STOP au CV « design » cache-misère !

Quand il s’agit de rédiger son CV professionnel et sa lettre de motivation, la tentation est grande, pour de nombreux candidats, de penser d’abord graphisme et de songer aussitôt à créer un CV design en utilisant un modèle de CV.

Cette réaction est logique, car nous avons tous en tête des exemples de CV que nous avons trouvés très design et qui semblaient s’approcher du CV parfait, générant au premier coup d’oeil un « effet waouh » : « Oh, quel beau CV ! »

Or, le candidat qui veut réussir son CV et se demande comment rédiger son CV devrait toujours se mettre à la place du recruteur et se poser une question essentielle :

Un « modèle de CV design » permet-il de créer un CV efficace ?

Un beau CV fait-il un bon candidat ?

La réponse est évidemment non : aucun recruteur sérieux ne recevra jamais un candidat en entretien sur la base du graphisme de son CV. Au contraire, il s’interrogera toujours sur les motivations de ce CV design soupçonné de masquer un manque de fond dans le parcours du candidat… un cache-misère en quelque sorte.

Alors, comment rédiger un CV, ou plutôt comment rédiger son CV (et pas celui du voisin) ? Un bon CV, un CV efficace, celui qui permettra de ressortir en bonne place dans les CVthèques, c’est d’abord un CV que le candidat a pris la peine d’écrire, et c’est un CV qui lui ressemble : c’est un CV que le candidat a pris la peine de réaliser, de construire, d’architecturer, de structurer.

Réaliser un CV, ce n’est pas remplir les cases d’un modèle de CV : rien n’est pire, pour un recruteur, qu’un CV contraint par son format… un peu comme un candidat qui se présenterait en entretien dans un costume qui serait trop petit pour lui !

CV de Marissa Mayer

Exemple de CV parfait fondé sur un modèle de CV… Pourtant, ce CV comporte 19 défauts majeurs. Saurez-vous les trouver ? Cliquez sur l’image puis promenez votre souris sur le CV pour les découvrir.

Voir aussi : CV original : Est-on vraiment obligé de sortir de l’ordinaire ? Caroline Rochet – Marie Claire

L’abécédaire du CV : A comme Accroche

Accroche, nom féminin, partie d’un texte ou d’une publicité dont la fonction est d’attirer l’attention.

Accroche, nom féminin, partie d’un texte ou d’une publicité dont la fonction est d’attirer l’attention.

L’accroche d’un CV est essentielle car c’est elle qui va permettre au lecteur de comprendre d’où vient le candidat et où il souhaite aller.

Positionnée directement après le titre, l’accroche doit valoriser à la fois des soft skills, qualités personnelles autant qu’interpersonnelles, et des hard skills, compétences démontrables et techniques. Enfin, l’accroche permet de comprendre instantanément la direction que le candidat souhaite donner à sa carrière.

D’un point de vue opérationnel, l’accroche doit pouvoir être lue en une trentaine de secondes. En effet, il est couramment admis et régulièrement vérifié que si le CV est consulté par le recruteur, c’est-à-dire s’il a passé la première sélection automatisée ou semi-automatisée opérée sur des critères quantifiables (formation, expérience, etc.), le candidat peut espérer au mieux conserver l’attention du recruteur durant trente secondes. Au delà, il risque de le perdre et en-deçà, il perd une occasion de le convaincre.

Cette accroche permet aussi de focaliser l’attention du recruteur sur la trajectoire du candidat, le corps du CV constituant une démonstration de cette accroche.

A retenir :

  • L’accroche est indispensable pour focaliser l’attention du recruteur dans la direction où vous souhaitez l’amener
  • L’accroche doit permettre de retenir le recruteur sur votre parcours durant une trentaine de secondes
  • L’accroche doit permettre au recruteur de comprendre la direction que le candidat souhaite donner à sa carrière
  • L’accroche s’appuie sur le corps du CV : les éléments mis en avant dans l’accroche doivent être démontrés dans le corps du CV.

Travailler en Suisse : quelle équivalence avec la maturité pour un bachelier français ?

Les candidats souhaitant aller travailler en Suisse se voient souvent confrontés au problème du diplôme ; si pour les Master I et II il n’y a pas trop de problèmes, il en va totalement différemment du baccalauréat.

Tout d’abord, au risque d’enfoncer une porte ouverte, rappelons que le baccalauréat est, d’après le Petit Larousse, l’examen marquant la fin du second cycle de l’enseignement du second degré et permettant l’accès aux études supérieures.

La maturité, en Suisse, répond à la même définition.

Néanmoins, baccalauréat français et maturité suisse ne sont pas équivalents car le baccalauréat français ne permet pas d’accéder systématiquement aux universités suisses.

Tout d’abord, seuls les bacs généraux S, ES et L sont reconnus, sous conditions : le niveau exigé pour la reconnaissance de votre baccalauréat dépend du canton (voire de la ville) dans lequel vous souhaitez aller.

Si vous avez une mention assez-bien ou supérieure, soit une moyenne générale de 12/20, vous pouvez vous prévaloir de la maturité dans la plupart des cantons de suisse romande. Attention, petite subtilité : le Bac L mention assez-bien est reconnu à Genève, mais dans les autres cantons il doit systématiquement être accompagné de l’option mathématiques.

Si vous n’avez pas de mention mais un bac S ou un bac L option mathématiques, direction Fribourg ou Lausanne où votre bac sera reconnu.

Enfin, les autres bacs ne sont pas reconnus en Suisse.

Source : suissuniverersities.ch

5 règles d’or à appliquer lorsque vous envoyez une candidature à un cabinet de recrutement

Dans un cabinet de recrutement, des gens travaillent. Pourtant, bizarrement, certains candidats semblent penser qu’un cabinet de recrutement est une simple boîte à lettres dénuée de tout intérêt. Mais non, tout n’est pas automatisé et derrière le recruteur, il y … Continuer la lecture

Cadre expérimenté : 5 qualités à mettre en avant face aux Millénials

L’arrivée des « Millennials » dans l’entreprise entraîne une fracture générationnelle dans laquelle les cadres expérimentés ont plus d’une carte à jouer.

Alors, quelles qualités mettre en avant en entretien face aux Millénials ?

Tout d’abord, autant oublier l’adaptabilité, la connaissance des nouvelles technologies ou vos capacités multitâche : les Millénials excellent dans ces domaines !

Vous pouvez privilégier plutôt :

  • Votre connaissance du secteur. Avec 10 ans d’expérience ou plus, vous pouvez vous positionner comme un expert de votre secteur d’activité : vous maîtrisez son évolution, vous disposez d’un carnet d’adresse, voire connaissez les leaders d’opinion.
  • Votre pragmatisme et votre orientation résultat. Vous avez le recul pour savoir comment l’entreprise résiste à un départ ou à la fermeture d’un site, que la santé de l’organisation est prioritaire, même si cela impose de délocaliser et de déménager dans des locaux moins prestigieux.
  • Votre capacité à composer. Vous savez qu’une décision est prise en commun, que les pouvoirs sont partagés et que rien n’est jamais parfait… Vous savez aussi qu’on ne fait pas table rase du passé et que le changement doit se faire dans la continuité.
  • Votre maturité. Vous êtes face à un problème bloquant ? Vous savez rester zen, votre expérience vous permet justement d’analyser la situation et d’apporter des solutions.
  • Votre habileté à communiquer et à résoudre les conflits. Les espaces d’échange virtuels sont très pratiques, mais vous savez très bien qu’organiser un déjeuner est souvent beaucoup plus efficace !

Quelles sont vos qualités et vos défauts ? C’est pourtant simple !

S’il existait une seule question dont les candidats devraient se méfier, il est probable que le sempiternel  » citez-moi vos qualités et vos défauts  » remporterait, haut la main, la palme d’or.

Contrairement à ce que certains pensent, la question n’est ni anodine, ni idiote. Bien au contraire.

Le plus étonnant est qu’aucun livre et à notre connaissance aucun site web ne se soit fendu d’une explication intelligente… oubli que nous réparons aujourd’hui !

La réaction « classique » des candidats

La plupart des candidats trouvent la question stupide, et ils ont raison : elle l’est, stupide, et même tellement qu’elle les déstabilise totalement. Un jour, un candidat m’a répondu : « question idiote, réponse idiote ». Avait-il tord ? Je ne sais pas, ou plutôt, si, je sais, j’avoue : ce n’est pas une question idiote, c’est même la moins idiote de toutes, puisque c’est moi qui la pose.

La preuve : elle dérange tout le monde, de la secrétaire à la pédégère, et fait basculer beaucoup de candidats dans le camp des recalés.

L’erreur capitale ou comment s’auto-éliminer

La plupart des candidats que je reçois, jeunes ou vieux, ont, un jour, lu un guide de l’entretien d’embauche et citent des qualités professionnelles et des défauts personnels, c’est à dire n’ayant pas d’impact professionnel. Cela me fait bien rigoler, mais « je ne sais pas choisir mes vêtements » ou « je suis gourmand », je l’entends plusieurs fois par jour !
Moi aussi je suis gourmande, vous vous en foutez, hein ?

Le défaut pardonné (?) car le candidat « se soigne »

La deuxième catégorie est intéressante aussi, et c’est celle des « je me soigne ». Elle est redoutable car elle regroupe tous les candidats sûrs d’eux, et je ne compte plus les distraits qui « notent tout sur leur cahier », les nuls en maths qui ont « toujours une calculatrice avec eux », ou le désordonné qui se « force à ranger ».

Moi, je ne pardonne pas, je saque, car, comme beaucoup de recruteurs, pour sélectionner, eh ben, il faut bien que je sois vicieuse…

Le (vrai) défaut utilisé qui explique le parcours professionnel

Moi j’ai un gros défaut : je suis nulle en maths…, et c’est bien pour cela que je fais du recrutement, tiens ! Ca vous en bouche un coin ? Et pourtant c’est la vérité, je ne veux pas chercher à me faire pardonner, c’est ainsi, et c’est tout : j’assume, et j’utilise. Incroyable mais vrai, j’ose le dire.

Et j’ai un autre défaut, je veux qu’on me dise la vérité : c’est pour cela que je fais du recrutement, et mon détecteur de sornettes fonctionne en permanence. Alors, arrêtez de vouloir me faire gober n’importe quoi…

Alors, si nous nous rencontrons, ou si vous rencontrez un autre recruteur dans mon genre (attention, nous sommes de plus en plus nombreux !) réfléchissez à ces vrais défauts, ceux qui vous ont façonnés, ce sont les seuls qui auront quelconque intérêt pour le recruteur.

 

Sylvie Korn pratique le recrutement depuis 17 ans dans le secteur audiovisuel

Un recruteur a consulté mon profil LinkedIn !

Quand un recruteur consulte votre profil sur LinkedIn ou votre CV dans une CVthèque, vous êtes en général alerté qu’une personne a consulté votre profil. Si vous disposez d’un abonnement « premium », vous pouvez même savoir précisément qui a consulté votre profil.

Dans tous les cas, vous pouvez tirer de nombreux enseignements des informations collectées.

Première étape, qualifier le contact :

Identifier l’entreprise/le cabinet, la fonction de l’interlocuteur, et éventuellement son nom
repérer d’autres profils de l’entreprise accessibles via votre réseau.

Si possible, vous pouvez bien sûr consulter directement la page de votre contact.

Deuxième étape, étudier l’entreprise :

Cerner les besoins de l’entreprise : offres d’emploi, revue de presse et site institutionnel constituent d’excellentes sources d’information.

Troisième étape, activer votre réseau :

Une fois que vous avez repéré d’autres profils de l’entreprise accessibles via votre réseau, vous pouvez très simplement les contacter en leur donnant les informations sur la personne qui a consulté votre profil et en leur demandant si « par hasard » ils sont à l’origine du contact (précisez bien que cela ne vous dérange pas !)

Autre solution, vous pouvez directement les remercier pour la mise en relation, car même s’ils ne sont pas à l’origine du contact, ils auraient pu l’être…

 

 

Le truc de CVfirst : 
Vous pouvez très facilement « solliciter » des contact qualifiés via LinkedIn : il vous suffit de consulter les profils qui vous intéressent en mode public (cette option se situe dans les paramètres de sécurité). Les utilisateurs actifs seront alors alertés que leur profil a été consulté et regarderont votre profil en retour. Il ne vous reste plus qu’à commencer le processus à la première étape, en qualifiant le contact.

 

MH/CVfirst